Paraphraser

Lorsque vous paraphrasez, vous énoncez l’idée de quelqu’un d’autre dans vos propres mots. La paraphrase est l’outil le plus important pour partager la recherche des autres en fonction de votre propre étude. En plus de paraphraser, il existe deux autres moyens de partager les idées des autres : citer et résumer.

Qu’est-ce que la paraphrase ?

La définition de la paraphrase est quand vous énoncez l’idée de quelqu’un d’autre dans vos propres mots. Le but est de conserver la même signification que le texte original sans le copier mot à mot. Si la tâche semble très ardu pour vous rendez vous sur https://www.protranslate.net/fr/paraphraser/.

En général, vous paraphraserez plus que vous n’en citerez dans votre document. Cela est dû à trois raisons principales. Il y a d’abord la paraphrase qui montre que vous comprenez bien le sens. Ensuite, vous ne copiez pas les recherches des autres et ne plagiez pas leur travail. Enfin, votre propre voix restera dominante tout au long de votre papier

Les étapes pour bien paraphraser

Le passage paraphrasé répond à tous les critères de paraphrase. Le texte est écrit dans vos propres mots, la signification du texte n’a pas changé ou la source est citée correctement. Pour paraphraser un passage, vous devez

  • Le lire plusieurs fois pour bien comprendre l’idée. Cela vous permet de noter les concepts clés si vous en avez besoin.
  • Rédiger la version du texte sans consulter l’original.
  • Lire votre propre version du texte paraphrasé par rapport à la version originale et noter toutes les phrases trop similaires. Vous pourrez donc faire des ajustements mineurs nécessaires. Sachez cependant que vous ne pourrez peut-être pas changer toutes les phrases.
  • Noter la source d’où vous avez repris l’idée, avec toutes les informations dont vous aurez besoin pour écrire correctement la citation.

Ces étapes peuvent sembler assez simples à suivre, mais il peut être difficile de savoir par où commencer quand il s’agit d’écrire une idée d’une manière différente de la version publiée. Quelques règles pour bien paraphraser Commencez votre première phrase avec un point différent de la source originale. Vous pouvez par exemple commencer par introduire le contexte. En fait, les informations clés sont mentionnées dans un ordre complètement différent.

Techniques pour mieux paraphraser

  • Utilisez autant de synonymes que possible. Bien que certaines parties de la citation initiale ne puissent pas être modifiées, car il n’existe pas de synonyme idéal.
  • Changer la structure de la phrase : si la phrase était à l’origine dans la voix active, vous pouvez par exemple la changer à la voix passive. La voix active est quand une phrase est dirigée par le sujet
  • Divisez l’information en phrases séparées : bien que la paraphrase aboutisse généralement à un nombre de mots à peu près équivalent à une citation originale, vous pourrez peut-être jouer avec le nombre de phrases pour rendre le texte différent.

Si vous faites des recherches approfondies et prenez des notes sur la littérature existante, vous finirez naturellement par paraphraser la plupart des informations importantes que vous trouverez plutôt que par des citations directes. Il est sage de limiter le nombre de citations directes dans votre document, car une utilisation intensive peut donner l’impression que vous ne comprenez pas bien les sources ou que vous êtes trop paresseux pour écrire avec vos propres mots. Les citations réduisent également la lisibilité de votre thèse.

Paraphraser

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Tous les secrets d’une bonne rédaction web

Rédiger des faits, rédiger des commentaires, rédiger des instructions, philosopher sur un nouveau concept… Le travail du rédacteur web est presque infini. Il pourra en profiter autant qu’il le peut. Mais il devra respecter une discipline particulière de manière à pondre une œuvre pertinente et génératrice de trafics. En plus de ses propres critères du bon article, il devra plus particulièrement prendre en compte ceux d’autres artisans du web.

Le bon texte pour le web.

L’internaute lit le bon texte sans sauter une seule ligne et sans bâcler un seul paragraphe. Sa lecture l’amène ensuite vers d’autres articles et d’autres sites liés à la page qu’il parcoure. Au-delà des préceptes du référencement pour le web (titre court et poignant, hiérarchisation des balises…), aurait-on oublié un autre critère dans cet essai de définition ? Oui : le bon texte web est vendeur à plus d’un titre, ce, à la manière d’un démarchage ou, indirectement, en sollicitant l’intellect, le sens moral, les préférences… bref, tout ce qui fait de l’internaute un consommateur averti. En l’occurrence, cela peut s’appeler du blogging.

Règles à suivre pour une bonne rédaction web.

S’est-on déjà demandé pourquoi beaucoup de spécialistes de la rédaction web bâclent leurs articles sur « comment rédiger un bon texte web » ? Plusieurs réponses : ils ne veulent tout simplement pas tout partager afin de désintéresser la concurrence, ils ne savent pas eux-mêmes quelle est la meilleure technique pour écrire, ils veulent que les rédacteurs se débrouillent sans eux, etc. En tout cas, les règles se résument en : la grammaire et la syntaxe impeccable, la concision et la précision du texte, la véridicité des données.

En somme, plusieurs dispositifs entourent la réalisation d’un bon texte :

  • Disposer d’une excellente culture générale et des connaissances spécifiques pour ne jamais être à court d’inspiration
  • Se procurer des sources fiables d’informations et suffisantes pour étoffer l’article
  • Faire bon usage des données pour mieux illustrer le texte
  • Faire preuve de compétence en matière de langage, pour optimiser la lisibilité (la compréhensibilité) du texte.

La rédaction web est indissociable du SEO.

Bien entendu, le premier client incontournable d’un bon texte web, c’est le moteur de recherche. De façon simultanée, le rédacteur web pensera à optimiser son texte, de façon à ce que Google et Bing le place en tête de liste des résultats de recherche. Même si le SEO n’est pas le seul moyen pour créer du trafic sur le site, il n’est pas moins la première méthode pour créer du trafic. Mais la mission du rédacteur web, c’est avant tout de plaire au lecteur humain une fois sur la page accueillant le texte.

Secrets d’une bonne rédaction web

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Rédacteur web : plaire au robot ou à l’internaute ?

Rédiger pour le web répond à deux impératifs : être vu et positionné par les moteurs de recherche puis être lu et adulé par les internautes. L’une et l’autre finalité se complète puisque sans les Google et Bing, le texte web est invisible. Et sans les internautes, on ne peut valoriser l’œuvre ni, éventuellement, le produit qu’il préconise. Parfois, l’équilibre est difficile à trouver.

Faut-il vraiment spécifier la rédaction web ?

Depuis la mondialisation de la toile dans les années 2000, la rédaction constituait déjà tout un module de travail en webmarketing. L’enjeu a été de mettre en lumière le savoir-faire, le but, et autres visées du site. Il s’agissait aussi de communiquer avec une communauté qui voyait en Internet un système innovant pour leur faciliter la vie. Il fallait donc créer un contenu spécifique, mais non loin des besoins de chaque webnaute : produits plus accessibles, services plus diversifiés, et des textes plus simples à lire pour ce faire.

C’est la naissance de la rédaction web, laquelle s’érige déjà en métier à part entière en même temps que la mise en vogue du web 1.0. La pratique de l’écriture web est encore plus régulée avec l’avènement du web 2.0. Cependant, beaucoup remettent cette particularité par rapport à d’autres domaines comme le journalisme ou les œuvres littéraires.

Écrire pour l’internaute, d’abord ou après ?

Se poser cette question est on ne peut plus pertinent, du fait qu’y répondre va influencer notre manière d’écrire. Pour un bon nombre de thèses, l’internaute étant la cible, tout doit d’abord être pensé pour son intérêt. Mais l’internaute a une définition vaste, en ce qui concerne sa capacité et sa volonté à la lecture. Quel est le pourcentage des internautes dont la faculté de réflexion logique se base sur un maximum de 8 à 10 mots par phrases ? Quel est le nombre de lecteurs qui aiment les sujets plus pointus et qui sont indifférents vis-à-vis des styles simples ou plus soutenus ?…

L’instruction viendra de fait du webmarketeur, lequel devra identifier ses cibles via une étude de marché. D’une manière générale, il devra mettre au point une ligne éditoriale qui pourra à la fois attirer et captiver les internautes, et qui plaira en même temps aux moteurs de recherche. Sans ce compromis, la rédaction web et tout le système marketing du site sont normalement voués à l’échec.

Quoi qu’il en soit, il faut noter que le contenu textuel ne peut suffire pour le référencement d’un site web. D’autres éléments entrent en jeu hormis les contenus multimédias : rapidité de chargement et d’affichage du site, le design de la plateforme, sa praticité… Tout cela dépend surtout de la bonne gestion du contenu rédactionnel.

Rédacteur web : plaire au robot ou à l’internaute ?

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Les ponctuations dans le domaine de la rédaction web

C’est toute une stratégie de structurer des phrases et des textes. Ce n’est pas plus pour faire joli que pour permettre une lecture fluide. Les règles orthographiques et grammaticales n’en sont pas les seules conditions. La typographie, ou le bon usage des ponctuations, est à considérer au même titre. Que dire de plus ?

Mémento de la rédaction web.

En dehors de toute la technicité liée au référencement, la rédaction web est une source d’étourdissement en ce qui concerne le suivi du code de l’écriture. Plus que les livres, plus que les journaux dont la clientèle est limitée par un certain zonage géographique, les textes du web touchent un plus large lectorat. Évidemment, il existe des règles spécifiques à ce type d’écriture.

Particulièrement, les normes de rédaction web partent de l’idée d’un internaute adepte de la lecture en diagonale : concision, une ligne pour chaque phrase, vocabulaire digeste, rédaction orientée, mots-clés … Et quant à l’usage des ponctuations, la règle du strict minimum s’impose. Mais plus d’un se demanderont pourquoi des signes aussi importants pour la lecture et l’engagement du lecteur sont voués à se raréfier.

Les ponctuations, ces incomprises du web.

Censées aider à la gestion des mots et des propositions, certains signes typographiques qui ont eu tout leur sens (leur chance) sont réduits aujourd’hui à des usages dans les textos et messages mails entre amis. Encore que les émoticônes suffisent souvent pour les remplacer entièrement. En effet, en rédaction web, l’emploi des ponctuations est de plus en plus limité aux «. » et «, ». Les points d’exclamation, le point-virgule, les petits traits, les parenthèses sont devenus des signes de lourdeur pour beaucoup de rédacteurs. Alors qu’à bon escient, du moins normalement, les ponctuations ont leur mot à dire.

Les ponctuations pour le rythme.

Pour pondre un texte au style compris par tout le monde, aimé et adulé par un bon nombre (on ne peut pas plaire à tout le monde), il faut au rédacteur web un brin de sens de la cadence. Non seulement il lui faut aérer par des sous-titres et des paragraphes, il lui faut surtout ponctuer. Cela vaut surtout pour les adeptes des phrases longues (avec plus d’une proposition) où le rédacteur web peut avoir besoin de plus que la virgule.

Phrases longues ? En fait, on entend souvent dire que les phrases longues empêchent une bonne lecture sur le web. Mais entre internautes et rédacteurs, s’est-on déjà entendu sur ce nombre de mots idéal ? 12, 15, 20 ? Pourtant, on tombe facilement sur des phrases de 25 mots et plus sur la toile… C’est là tout l’enjeu de la ponctuation. Parce que les phrases courtes ne sont pas forcément plus compréhensibles.

Les ponctuations dans une rédaction

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La rédaction web, c’est toujours du marketing ?

Considérant son utilité pour de nombreux sites internet, on serait tenté de répondre par le oui. Effectivement, le rédacteur web contribue à créer un contenu censé orienter l’intérêt des internautes vers un produit, une solution, une idée… Que ce soit en vue d’une vente ou de réveiller la conscience populaire, la rédaction web a une finalité : la persuasion. Mais face aux règles, il y a leurs exceptions.

Rédiger pour le web, c’est vendre.

Pour le tout puissant Google, toute plateforme qui n’est pas performante en matière de référencement ne peut avoir de place prépondérante sur le NET. Du coup, le rédacteur web et son webmaster se plient en quatre pour trouver les astuces, les meilleures, pour se mettre à la hauteur des moteurs de recherche, ou plutôt pour se trouver constamment à la première page. Mais quelle utilité d’être bien positionné sur la toile si ce n’est pour proposer ou vendre quelque chose ?

Le « maître d’ouvrage » tient à ce que son produit (un logiciel, un service, une astuce…) soit visible et accessible à tous. Le rédacteur web, à son tour, vend son article (dans tous les sens du terme). En effet, il doit à la fois plaire à son commanditaire et aux cibles de ce dernier : les internautes.

La rédaction web, c’est juste pour l’info.

Il ne faut pas toujours prendre le terme « marketing » dans son sens commercial, mais aussi dans une acception qui se rapproche plus de « propagande ». Parce que le texte web est autant un moyen de vendre qu’une invite au raisonnement. Il peut même ne s’agir que d’une œuvre dont la tournure générale est engagée dans certains idéalismes.

Mais parfois, loin est cette pratique tendancieuse en faveur d’une idée ou d’une autre. Le rédacteur web se doit parfois d’être objectif dans son écrit. À la base, il doit fonder chacune de ses phrases sur des faits, avérés ou non, mais qui ne devront quand même pas induire les lecteurs en erreur. C’est comme un journaliste, mais avec encore plus responsabilité puisque le rédacteur web a une vaste source à bien maîtriser sous la main : Internet.

La rédaction web, c’est pour distraire le webnaute.

En premier ou en dernier ressort, ce travail consiste à transporter les internautes plus ou moins en dehors de leur réalité et de leurs tracas quotidiens, ou pour les aider à les surmonter de façon plus amusante. Le rédacteur web a un devoir de se mettre à la place du lecteur, et tout faire pour que chacun de ses mots soit mâché et soit le plus digeste possible.

La rédaction web, c’est toujours du marketing ?

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Comment assurer l’absence de contenu dupliqué dans un texte ?

En termes de référencement web, un texte dupliqué n’est pas tellement la reprise intégrale d’un autre. La duplication concerne plutôt des mots, termes et phrases, repris tels quels. Cela veut dire qu’il n’y a eu aucun effort pour modifier les éléments du texte concerné, ou qu’il n’y a eu aucune intention de dupliquer. Mais quand le mal même non intentionnel est fait, les risques de se faire traiter de plagiaire, ou au moins des sanctions de Google peuvent tomber. Pour le rédacteur web, c’est une des missions les plus impossibles. Comment passer outre ?

Le dupliqué, c’est vraiment si mal ?

Il faut d’abord savoir comment les moteurs de recherche pénalisent les plateformes présentant du contenu dupliqué. Pour faire bref : ils sont déclassés, voire disparaissent des pages de recherche quand les robots d’indexation le décident. Il en va ensuite de l’image de l’entreprise aux yeux de l’internaute, plus enclins à considérer la probité de ce qu’on lui avance. Tout cela affecte évidemment le trafic sur le site web concerné et, donc, sa mise à ‘écart par les webnautes.

De fait, le problème est double. En même temps, un site peut être victime d’une duplication externe, mais il peut aussi en être la source. Il faudra en effet distinguer le duplicate content interne (des problèmes d’URL surtout !) et le duplicate content externe, celui qui est un peu moins facile à gérer parce qu’il concerne des sites tiers. Dans tous les cas donc, les vérifications autant du webmaster que les opérateurs, comme le rédacteur web, doivent être multiples.

Solution : éviter de copier/coller et le trop de « duplicate content ».

Rien sur le NET n’est original à 100% ou avec 0% de dupliqué. Même si cet univers est vaste, d’innombrables éléments sont répétitifs. Assez pour amener certains à déduire que Google ne peut pas vraiment cibler des sites à contenu dupliqué. Mais minimiser les similarités est indispensable. Particulièrement, le rédacteur web est dans le devoir de vérifier qu’à chaque texte, il est en présence d’un élément sans faille ou presque. Il existe pour ce faire des sites spécifiques comme Positeo ou Duplicate-content.co, et même les barres de recherche pour vérifier l’unicité des phrases.

Quoi qu’il en soit, à force de travailler son vocabulaire et ses syntaxes, en s’amusant de temps en temps à reformuler des textes, à force de lire, et de bien canaliser son savoir… on peut arriver sans mal à écrire des œuvres uniques. Par ailleurs, quand l’éditeur de site l’autorise, on peut aussi reproduire un texte en reformulant (du content spinning). C’est une certaine forme de duplication, toujours intellectuellement peu convenable. Mais c’est une technique SEO qui a démontré son efficacité et qui est, pour le moins, très utilisée.

Contenu dupliqué

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****1/2

Journalisme et rédaction web : les points communs.

 

Le journaliste et le rédacteur web sont des professionnels au statut différent, pourtant versés dans un métier commun : l’écriture. Ces deux types d’auteurs n’ont pas forcément eu les mêmes cursus académiques et professionnels, ni les mêmes approches politiques et techniques dans leur manière d’écrire. Alors, quels traits communs pourraient faire que l’un puisse se substituer à l’autre ?

L’objectivité du journaliste.

Cette pierre angulaire du métier de reporter consiste à fonder la rédaction d’un article sur les faits, leur réalité et, éventuellement, leur ampleur dans la société. L’objectivité peut se définir comme une autonomie ou une indépendance d’esprit. Mais il s’agit surtout d’une faculté d’écrire sans l’influence d’aucun idéal, d’aucun politique, d’aucune idée personnelle… lesquels risqueraient d’altérer la vérité et de faire sombrer « l’écrivain » dans la partialité.

Le rédacteur web est-il objectif dans sa façon d’écrire ? Personne ne répondra « oui », si l’on se réfère à la définition du terme supra. Mais si l’objectivité est prise dans un sens où, au contraire, l’auteur fait siennes toutes les idées autour d’un fait, d’un produit… alors, il est objectif à plus forte raison « dans son esprit ». Parce que, loin de pouvoir ou de vouloir prendre parti, le rédacteur web accepte, même à contrecœur, qu’une idée ou un produit est aussi bon qu’un autre. Pourquoi ? Il s’adresse à des lecteurs différents d’une page à l’autre.

La multidisciplinarité du rédacteur web.

La rédaction web est un métier touche-à-tout. Tous les domaines que la toile peut contenir tiennent dans la plume du rédacteur web. On pourrait même dire facilement que ce spécialiste de l’écriture web est la personne la plus informée, voire la plus intelligente au monde. Mais c’est peu dire de la responsabilité de cet artisan du web en ce qui concerne la transmission de ses connaissances vers le public. Encore faut-il que ce savoir soit bien fondé.

Le journaliste aussi est tenu d’être multidisciplinaire. Parce qu’en parlant d’une chose, il sera amené à parler d’une autre et ainsi de suite, ce, en toute assurance. Cependant, comme pour certaine catégorie de rédacteur web, l’attention du journaliste est souvent focalisée en permanence sur un ou quelques domaines ciblés. C’est ainsi qu’on parle de journalistes économiques, politiques, faits-diversiers… On entend peu parler de rédacteur web économique, technologue… même leur existence est plus que probable.

La rédaction au service de la communication.

Les métiers d’écriture visent tous à communiquer à un vaste public comprenant des profanes et des spécialistes. Cela fait que journalistes et rédacteurs web se doivent de trouver le compromis, entre le fait d’écrire en vue d’une compréhension rapide du lecteur et la maîtrise de la technicité du domaine ou du secteur concerné. Sans compter que, pour le rédacteur web, il s’agit d’ajouter des techniques qui le font démarquer au sein des moteurs de recherche.

Journaliste et rédacteur web

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Quel langage efficace pour capter l’internaute?

SEO écriture

kaboompics / Pixabay

Quel niveau de langage est préférable quand on s’adresse à l’internaute ?

L’internaute recherche de quoi nourrir sa curiosité par la multitude d’informations intéressantes qu’il glane sur le web. L’internaute est celui qui balaye facilement l’écran de la tablette tactile ou du smartphone quand la page qui s’affiche ne le captive pas. L’internaute est capté par la qualité de ce qu’on lui propose, mais certainement plus par la façon avec laquelle ce « produit » lui est présenté. Au-delà des images et du produit même, le niveau de langage a son importance.

Ce que veut  l’internaute lecteur.

La moitié des terriens sont internautes, occasionnels ou habituels à des degrés divers. Et le nombre va grandissant. C’est dire de l’impossibilité de la tâche quand il s’agit de définir un e-lecteur (dans le sens de la lecture d’un contenu textuel du web sur support numérique). D’ailleurs, c’est encore plus délicat avec le développement d’une nouvelle génération qu’on appelle « mobinautes ».

Mais on va dire qu’en général, un internaute est tellement submergé d’informations qu’il doit faire une sélection rapide de ce qu’il va retenir. En voguant sur le NET, soit il cherche une infime information dans un « téraoctet » de données, soit il cherche beaucoup d’informations dans un nombre limité de sources. Dans tous les cas, il choisira la facilité : une lecture qui lui facilite la vie.

Approches  à privilégier en matière de rédaction web.

Ce qui est souvent imposé au rédacteur du web, c’est de transcrire ses idées dans un langage clair pour tous les internautes et mobinautes réunis. On n’a qu’à se référer aux leçons de français (sur les niveaux de langue) bien entassées dans ses anciens cahiers, au fond du tiroir, dans le grenier, dans la maison de ses parents… On aimerait bien que ce soit si simple.

Mais pour que le courant passe mieux, il faut en plus travailler à ce que les lecteurs « aiment lire » ce qui s’affiche à l’écran. C’est là toute la complication : est-ce que le langage soutenu est vraiment plus compliqué et moins enthousiasmant qu’un langage courant ou familier ?… Bon nombre de rédacteurs web se refusent à sacrifier leurs talents d’écrivain pour le bon vouloir des internautes. Pourtant c’est leur travail de plaire aux internautes. Faut-il leur en vouloir pour autant ?

Au final, la rédaction web c’est…

« Si l’on devait se mettre à la place d’un internaute tout le temps, on risquerait de ne plus être nous-mêmes ». C’est ce qu’a dit un jour un rédacteur senior, chevronné dans son domaine, mais qui ne peut s’empêcher de conseiller de « faire simple », en adoptant un langage courant souvent dit « normal ». Ce modèle est passe-partout : que ce soit pour un thème populaire  ou un thème réservé à une certaine classe.

Ecriture web

Rating by bien: 4.5 stars
****1/2

Les 5 W : ça se vaut en rédaction web

Les rédacteurs web sont classés parmi les gens sur-informés du monde moderne. Tout comme le reporteur, il doit rapidement synthétiser ses données sans en perdre une miette, pour ensuite mettre en place une rédaction qui distingue son écrit d’autres « œuvres » sur le web. C’est tellement facile à dire ! Mais de par ce côté journalistique, les auteurs du web sont dotés de quelques techniques leur permettant de rester sur la ligne, comme la règle des 5 W. Comment cela s’appréhende-t-il en rédaction web ?

Les 5 W pour orienter et captiver l’internaute.

Pour les défenseurs de leur usage en rédaction web, les cinq pronoms interrogatifs (quoi, qui, où, quand et pourquoi) constituent un fil conducteur devant mener le lecteur vers un point de non-retour. Un point où il va se convertir en acteur, en acheteur. Cette technique permet au rédacteur web de mettre en place une structure rapidement compréhensible par l’internaute ou le mobinaute. L’opérateur pose les contours du sujet (un produit, une solution, un évènement…) en entrant progressivement dans le vif. Le tout est réalisé dans le cadre d’une rédaction courte, concise et précise.

Comment utiliser le 5 W en rédaction web ?

Grâce à cette règle, les internautes sont plus aptes à assimiler rapidement le corps du texte. Selon les usages en matière de rédaction web, les réponses à ces questions sont placées à chaque début : dans les sous-titres, dans l’introduction, dans la première phrase du paragraphe… Cette façon d’écrire est spécialement réalisée pour l’internaute, zappeur de nature. Les acceptions relatives à ces interrogations devront être bien mises en évidence, à plus forte raison pour les mobinautes, ce, peu importe l’angle d’attaque.

La règle des 5 W n’est pas tout.

Si les informations sur le Net pouvaient être cernées uniquement par la règle des 5 W, ce serait un travail facile pour les rédacteurs web. Mais la toile est tissée par des milliards de fils interconnectés et de taille différente. Ce qui veut dire qu’aborder un thème soulève un peu plus de questions. Les « qui, quoi, où, quand et pourquoi » sont peut-être suffisant pour relater des faits ou des événements ou les contours d’un produit. Mais quand il s’agit, par exemple, d’appliquer des solutions et des coûts, il est évident que des « comment » et des « combien » sont ajoutés.

Au contraire, la règle des 5 W a aussi ses exceptions. Par exemple, quand le rédacteur trouve que les réponses à « où » et « quand » ont une importance négligeable, il convient de les omettre de la trame de rédaction. Il ne faut pas oublier que la règle pour un rédacteur, c’est d’amener l’internaute à lire tout le texte, de la majuscule du titre principal au point final.

 

Rédaction efficace

Rating by excellent: 4.0 stars
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Le titre idéal dans la rédaction web

Court, explicite, captivant, frappant, incitateur… on doit attribuer au titre web quelques caractéristiques permettant de convertir le lecteur en un consommateur actif. Dans la démarche de rédaction web, c’est l’étape cruciale où beaucoup se joue. Avant d’appréhender les titres de façon plus singulière, il est des règles communes.

Les préalables avant de créer des titres.

Avant d’entamer une écriture, il faut déjà visualiser ce que l’on va écrire dans le corps du texte. Est-ce une rédaction ciblée ou de portée générale ? Est-ce plutôt vendeur, explicatif, informatif, solutionniste (Définition: Ensemble des opérations mentales, intellectuelles susceptibles de fournir une réponse théorique ou pratique visant à la résolution, l’analyse, la compréhension …)… ? En tout cas, il faut se mettre à l’idée que tout est commerce, même si ce n’est pas forcément de la « monétisation ». L’objectif au final, c’est de faire atterrir l’internaute sur le site, l’inciter à rester un bout de temps et à choisir une action. Le ou les titres d’un texte doivent donc être suffisamment indicatifs et orientés, de manière à diriger d’emblée le lecteur.

Comment faire un titre accrocheur ?

Tout le monde a sa définition du terme « accrocheur ». Cela peut avoir un sens personnel ou adapté au thème d’une niche quand il s’agit de bloguer. Cela peut être purement relatif au procédé SEO, ainsi de suite. Mais de manière générale, il faut tout le temps rester dans une ligne éditoriale et respecter quelques formalités SEO de manière à optimiser le référencement naturel : caractères gras, balisage, 10 à 12 mots maximum…

Dans tous les cas, le premier travail du rédacteur, c’est de trouver les 2, 3 ou 4 premiers mots que Google considère en premier pour positionner la page web. Certaines formules sont devenues phares : les x astuces pour, comment faire pour, avantages et inconvénients… Mais là encore, plusieurs paramètres sont à considérer : phrase avec verbe, phrase interrogative, l’emphase commerciale et bien d’autres types de locutions. Principalement pour les textes longs, il faut aussi prendre en compte le sommaire interactif qui facilite l’orientation du lecteur.

N’est-ce pas le contenu qui compte avant tout ?

Tout rédacteur qui se vaut doit aussi avoir de l’inspiration. À défaut, c’est la technique qui s’y substitue souvent. Mais d’un moment à l’autre, l’auteur se doit de compenser. Par ailleurs, il est vrai que, le plus souvent, l’internaute se rend sur un site en connaissance de cause. Il sait déjà à quoi il va s’en tenir en voguant sur un texte web. Mais quand bien même cette rédaction peut répondre à ses attentes, il peut se perdre rapidement face à une longue lecture. Parce que, par nature, un internaute est plus enclin à la lecture rapide et non chronophage. Au moment où il se perd, il pourrait d’emblée changer de page, et de site. C’est là une raison d’être des titres.

 

Comment créer un bon titre

Rating by 16/20: 4.5 stars
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